Est-ce que l’adoption complète de Vote électronique par les Etats européens sera un progrès pour la
- Kristina Zaharieva
- Dec 5, 2015
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Danes Vote in Referendum on EU Ties, 3Dec 2015, Photo: Associated Press
Presque tous les pays européens qui fonctionnent selon un principe de souveraineté gouvernementale, c’est-à-dire le droit des citoyens de choisir par une élection libre des gouvernants et des représentants étatiques, font face à la question d’adopter complétement ou pas le vote électronique dans leur administration. Au début, l’incertitude à l’égard l’implication de soufrage virtuel comme un acte légitime d’expression la préférence civile politique a été étroitement lié d’aspect de la confidentialité de vote électorale. Présentement, ce scepticisme institutionnel est généralement motivé par la nécessité d’une protection urgente l’information personnelle des européens par des cyberattaques à l’Internet.
L’introduction des Technologies d’Information et de la Communication dans le Discours publique en Europe contemporaine
Bien que la plupart d’Europe contemporaine fonctionne comme une Union politico-économique, le discours parmi les Etats membres de cet Alliance essaye de standardiser les priorités nationales différentes et d’établir un style de communication politique universelle[1]. Ce dialogue international a été élargi par l’implication de la sphère publique et des médias dans les affaires démocratiques. Pendant le processus de cette interconnexion structurelle, la demande vigoureuse d’établissement des critères nécessaires comme l’expression libre public, la transparence institutionnelle et l’accès à l’information pour un fonctionnement propre d’appareil démocratique a été posée dans un niveau supérieur.
De plus, l’introduction mondiale des technologies d’information et de la communication au cour des années 90 a permis l’utilisation de plusieurs types d’applications digitales dans la vie quotidienne des citoyens[2]. Les messages électroniques, les forums de discussion publique, l’échange des fichiers et de contenu d’information différente en même que les plateformes sociaux à l’Internet ont enrichi la bienveillance culturelle des européens concernant le monde et les activités institutionnelles actuels. A cause de ça, l’émergence de vote électronique ou le suffrage virtuel comme un sujet de discours social a donné la possibilité d’une participation plus tangible des citoyens au processus de décision gouvernementale et une implication plus efficace des pratiques institutionnels existantes dans les intérêts collectives publiques.
Le Vote électronique pour tous – un objectif irréalisable
Initialement, le vote électronique a été créé avec l’intention de perfectionner des côtés fables de suffrage universel direct, c’est-à-dire de diminuer la distance spatiale et temporelle que empêchent les citoyens d’exercer leur droit de vote, d’accélérer le traitement des résultats électoraux et de réduire le coût des élections[3]. Un certain système de vote électronique intègre des fonctions opérationnelles de cryptage, de randomisation, de communication et de sécurité. Une plateforme standard de vote électronique inclure une liste électorale, un tableau numérique que connecte les électeurs de la liste électorale, un tableau numérique spécial pour les électeurs handicapés et une section avec les résultats admissible d’administration électorale. Encore, le vote électronique a la capacité de réduire les problèmes d’organisation dans les pays démocratiques en acceptant seulement le vote dernier exprimé par l’électeur et en prévenant les erreurs pendant le compte de bulletins.
Malgré tous, les gouvernementalistes européennes continuent de supporter pas encore complétement le suffrage virtuel. En certain nombre des pays tels que France, l’Irlande, l’Italie et le Portugal permettent une utilisation des écrans tactiles seulement dans les bureaux de voter locaux ou dans les milieux spécialisés à l’étranger[4]. D’autres Etats membres tels que la Grande-Bretagne, les Pays-Bas, l’Allemagne et la Suisse envisagent une intégration complète du vote électronique dans leurs territoires à la future proche tandis que l’Espagne, la Norvège, la Suède et la Finlande continuent de rester volontairement attachés au vote traditionnel à base de papier. Traditionnellement, des explications plus fréquentes contre le vote électronique données par les institutionnalistes concernant le manque d’un anonymat de vote, l’absence des normes universelles par rapport des systèmes de vote électroniques et le haut risque de violation des détails personnels des électeurs. Présentement, ce scepticisme institutionnel est généralement inspiré par la nécessité d’une protection urgente l’information personnelle des européens par les attaques terroristes à l’Internet.
Le Vote électronique et le Cyberterrorisme
Le vote électronique peut être conduit soit dans les milieux publics contrôlés par des autorités nationales ou dans les milieux non contrôlés[5]. Le vote électronique dans les milieux contrôlés peut être considéré comme un équivalent électronique de vote papier dans les institutions autorisées d’organiser les élections. Le vote électronique qui se mène dans les milieux non contrôlés, comme les espaces domestiques et qui est exécuté par des dispositifs numériques non protégés, comme les ordinateurs personnels ou les applications mobiles se sont réalisés sans aucune supervision d’administration électorale. En ce sens, l’anonymat et la sécurité des détails personnels des électeurs sont mettre en péril par des formes de cyberattaques diverses.
Aujourd’hui, le thème de terrorisme représente un aspect effrayant de notre modernité. Bien qu’on n’existe aucune définition universelle de ce terme, on peut considérer que le terrorisme s’agit d’un acte prémédité, motivé fréquemment par des intérêts idéologiques et qu’ il est perpétré par des groupes ethniques différents avec le but d’engendrer un état de violence et de panique dans la société d’un pays et de telle façon d’influencer le gouvernement de ce pays[6]. Similaire à cette explication, le cyberterrorisme décrit un acte criminel électronique contre un Etat qui est perpétré au travers d’ordinateurs dont résultent des violences, décès ou destructions créant un sentiment de terreur destiné à influencer la politique d’une administration nationale.
De plus, il est admis officiellement que les cyberterroristes communiques avec la publique à travers l’Internet où ils publient et diffusent leur propagande visuelle et écrite mais il est également connu qu’un cyberattaque peut aussi affecter tous les types de dispositifs électroniques par des systèmes opératifs différents, c’est-à-dire par une impulsion électromagnétique que peut surcharger les circuits des ordinateurs ; par un insert d’un flux de code numérique malicieux dans les transmissions micro-onde de l’ennemi ; par une infection des ordinateurs en exploitant certaines failles logicielles ou par une utilisation des informations volées pour entrer dans un système d’accès restreint. A cet égard, l’implication complète de vote électronique par les Etats membre d’UE ne semble pas comme une perspective crédible par rapport la sécurité nationale.
Conclusion
L’implication des technologies d’information et de la communication a rapproché des citoyens et des nations dans un aspect mondial. La demande d’une expression libre, d’une transparence institutionnelle et d’un accès à l’information a changé les priorités institutionnelles en même que le discours universel parmi les Etats européennes. En ce sens, on peut dire que le vote électronique est un component définitivement positif à l’égard le développement de la démocratie contemporaine. Hélas, les attaques terroristes variables qu’ont devenu des évènements trop fréquents ne permettent pas une possibilité le dialogue parmi les Etats membres d’Alliance par rapport le suffrage virtuel d’approfondir.
[1] Liebert, U. and Trenz, H-J. (2010), Europeanization of the Mass Media: Normative Assessment and Empirical Analysis, Bremen University: Jean Monnet Centre for European Studies and University of Oslo: ARENA, p. 3
[2] Pirolli, F. (1998), Impact des nouvelles technologies sur le comportement des utilisateurs de systèmes de recherche d’information : application à la gestion électronique de documents. Lyon: Ecole Nationale Supérieure des Sciences de l’Information et des Bibliothèques, p. 21
[3]International Institute for Democracy and Electoral Assistance. (2011), Introducing Electronic Voting : Essential Considerations, Sweden: International Institute for Democracy and Electoral Assistance, p. 6
[4] Michel, H. - M. (2002), Les cartes cognitives du vote électronique : Une approche exploratoire des systèmes de représentations des citoyens, France : Université de Savoie, p. 5
[5]International Institute for Democracy and Electoral Assistance. (2011), Introducing Electronic Voting: Essential Considerations, Sweden: International Institute for Democracy and Electoral Assistance, p. 13
[6] Thévenet, C. (2005), Cyberterrorisme, mythe ou réalité ?, France : Centre d’études scientifiques de défense de l’université de Marne-La-Vallée, p. 6
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